les petites et les moyennes entreprises

• LES PARTICUARITES DES PME
• Les caractéristiques du PME

Il n’existe pas de définition juridique PME. On retient cependant des critères quantitatifs pour définir la petite et moyenne entreprise.
Les critères quantitatifs.
Les PME est une entreprise qui emploie moins de 500 salariés on distingue :
Petite entreprise de moins de50 salarié très présentes dans le commerce, l’agriculture te l’artisanat et dont le dirigeant est suivant propriétaire.
Les moyennes entreprises dont l’effectif est compris entre 50et500 salarié présente dans tout le secteur d’activité. Le pourvoir il est pluie dilué.
Les critères qualitatifs.

• Les PME se caractérise par certaines aspects leur capital appartient souvent a une seul personne ou a une famille, le pourvoir de direction est détenue par le dirigent créateur  assure les responsabilités financières, techniques et sociales de l’affaire et, généralement, les dirigeant désirent préserver leur indépendances mais la suivie de l’entreprise est parfois au prix de liens avec de grandes entreprises.
• La PME française, malgré sa petite taille (moins de 10 salariés en moyenne), est fortement créatrice d’emplois. Le réussit surtout dans les services grâce à sa réactivité et sa proximité avec ses clients. La PME est innovante et compétitive sur des créneaux pointus délaissés par les grandes entreprises, notamment dans les nouvelles technologies. Traditionnellement à dimension régionale, elle profite désormais des opportunités au niveau mondial, ce qui en fait une entreprise internationale, de moins en moins marquée par son pays d’origine.
• Les atouts et es handicaps des PME

LES ATOUTS DES pme

• Leur efficacité et la flexibilité de leur organisation : les PME sont dotées d’une structure légère et peu coûteuse permettant une bonne maîtrise des coûts. Elles s’adaptent aux aléas de l’environnement et aux fluctuations de la demande.
• Leur « taille humaine » : l’effectif réduit des PME leur permet une gestion du personnel efficace basée sur des relations sociales très directes. Elles offrent aux salariés d’importantes opportunités de promotion, sources de motivation.
• Le dynamisme du dirigeant : souvent son créateur, il s’y investi pleinement.

Les handicaps des PME

• la fragilité financière : une des faiblesses des PME tient à leur manque de fonds propres et à leur difficulté à trouver des financements auprès des banques.
• La difficulté à suivre le marché : la volonté d’indépendance conduit parfois les PME à se replier sur elles et refuser l’internationalisation, ce qui peut compromettre la survie de ces entreprises, très sensibles à la conjoncture.
• LES RELATIONS DES PME –PMI AVEC LES GRANDES ENTREPRISES

PME et grande entreprise sont souvent en concurrence mais elles coopèrent de plus en plus pour mieux tirer profit des atouts de l’une et de l’autre structure.

• La sous-traitance et l’externalisation
• Pour les PME, devenir sous-traitant d’une grande entreprise constitue une opportunité de développement. La PME y trouve une source de débouchés relativement stable et un argument commercial auprès de futurs clients.

Les grandes entreprises délèguent des activités ou la taille ne crée pas d’avantage particulier. Les activités nécessitent des compétences techniques non maîtrisées où le marché est trop étroit pour réaliser des économies d’échelle.

• On rencontre trois formes principales de sous-traitance :
• La sous-traitance de capacité permet à l’entreprise d’avoir une plus grande souplesse dans son activité en cas d’augmentation des commandes ;
• La sous-traitance des spécialités consiste à confier une partie de la production à une autre entreprise pour mieux se concentrer sur ses activités de base ;
• La sous-traitance en cascade, situation où il y a plusieurs rangs d’entreprises donneurs d’ordre : B sous traitant de A est donneur d’ordre pour C quand il ne peut satisfaire la demande de A
• L’externalisation consiste à confier à une société l’exécution d’une activité annexe (entretien, paie…), ou, actuellement, d’une activité stratégique (informatique, télécommunications). Pour toute firme, c’est un moyen de réduire les coûts pour les activités non rentables et de se connecter sur son cœur de métier.
• Les autres accords de partenariat
• Les relations de partenariat PME-grandes firmes établissent des rapports plus équilibrés entre les firmes et constituent un soutien au développement des PME.

Il existe plusieurs types d’accords :

• La coopération sous forme d’un partenariat financier dans le cas où une entreprise investi dans une PME performante et favorise ainsi sa croissance ;
• Le partenariat technologique consiste à ce que la grande entreprise  mette ses infrastructure de recherche et développement à la disposition d’une PME pour mieux profiter  de son savoir-faire et du fruit de ses recherches,
• L’essaimage permet à des salariés de fonder leur PME  grâce  aux compétences et au savoir-faire acquis dans une grande entreprise et grâce à des prêts ou subventions ;
• Pour être présentes sur des marchés étrangers, les PME ont parfois recours au portage ; en contrepartie du versement d’un pourcentage du CA réalisé, elles utilisent le réseau de vente des grandes entreprises, ce qui leur permet de travailler à l’export à moindre coût.