Correction

Les pourcentages de répartition sont les coefficients budgétaires (parts de la consommation consacrées à chaque poste du budget des ménages), l’effort à l’exportation (part de la production qui est exportée), l’import sur les bénéfices (part du bénéfice qui sert à payer l’impôt sur les sociétés), la pression fiscale (part du PIB prélevée sous forme d’impôts), la propension moyenne à consommer (part du revenu qui est consommée), la propension moyenne à épargner (part du revenu qui est épargnée), la propension marginale à consommer (part de l’augmentation du revenu qui est consacrée à l’augmentation de la consommation), la propension marginale à épargner (part de l’accroissement du revenu qui est consacrée à l’augmentation de l’épargne), le taux d’activité (part de la population qui exerce une activité ou qui cherchent à en exercer une), le taux de chômage (part des actifs qui cherchent à exercer une activité), le taux d’équipement des ménages (part des ménages équipés pour tel ou tel bien durable), le taux d’investissement (part de la richesse produite – PIB - consacrée à l’investissement -FBCF-), le taux de marge (part de la valeur ajouté brute qui reste dans l’entreprise une fois qu’ont été payés les salaires, les cotisations sociales et quelques impôts liés à la production), le taux de pénétration (la part du marché interne qui est alimentée grâce aux importations), le taux de prélèvement obligatoire (part de la richesse – PIB- prélevée sous forme d’impôts, de cotisations sociales ou de contribution sociale généralisée).

Les pourcentages de variation sont le taux d’accroissement naturel (taux de croissance de la population qui reste des naissances et des décès), le taux de croissance du PIB, le taux d’inflation (taux de croissance de l’indice des prix).

Les autres pourcentages sont des pourcentages particuliers : il s’agit du rapport entre le déficit du budget de l’Etat et le PIB, le degré d’ouverture mesuré par le rapport entre la moyenne des exportations et des importations et le PIB, le rapport entre la dette publique et le PIB, le taux de couverture mesuré par le rapport entre la valeur des exportations et la valeur des importations, le taux de rentabilité économique mesuré par le rapport entre l’excédent brut d’exploitation et le capital investi.

 

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