CORRECTION SUJET 1

PREMIERE PARTIE

1. Définitions

Le protectionnisme : c’est une doctrine une pratique ou un politique qui consiste à travers la libre circulation des biens, des services et des capitaux entre nations.
Le libre échange : c’est une doctrine, une pratique ou une politique visant la suppression de toutes les entraves à la circulation des biens, des services et de capitaux entre nations.

1.  Enonçons la théorie d’ADAM SMITH

la théorie du libre échange d’ADAM SMITH et la théorie de coûts absolus ou des avantages absolus qui dit que : chaque pays au monde a intérêt à se spécialiser uniquement dans la production des biens pour lesquels il y a un avantage absolu en terme de coûts par rapport aux autres.

Enonçons la théorie de David RICARDO
La théorie de David RICARDO est celle des coûts comparatifs ou des avantages comparatifs ou encore des avantages relatifs qui stipules que : un pays qui est défavorisés dans la production de bien pour le quel son désavantage et le faible, de même que le pays qui produit du bien ou son avantage est le plus élevé.
La différence entre la théorie du libre échange d’ADAM SMITH et celle de David RICARDO se situe à un double niveau

1. ADAM SMITH fait une analyse en terme de coût absolus tan disue RICARDO fait une analyse en terme de coût relatif
2. Bien plus, selon ADAM SMITH, le pays défavorisé partout devait tout importer et ne rien produire alors que selon DAVID RICARDO tous les pays devraient produire même le plus défavorisé.

1. L’économiste égyptien SAMIN est-il du même avis que RICARDO ? justifier votre réponse.

SAMIR AMIN n’est pas du même avis que David RICARDO
Il  estime que la théorie de RICARDO est favorable à l’échange intégrale, et puis RICARDO semble encourager la domination des pays nantis exportateurs ds produits manufacturés très onéreux sur les pays les PVD producteurs de matières premières bon marché.

1. L’économie Allemand Frederick Lest est favorable au protectionnisme « éducateur » de quoi s’agit-il ?

Le protectionnisme « éducateur » est une forme de protectionnisme qui se veut partiel par ce que limité à certaines branches d’activités non encore aguerries à la  concurrence temporaire par ce que limité dans le temps (en attendant que les industries jeunes ou dans l’enfance atteignent la maturité) cf.
Au protectionnisme s’applique aux jeunes nations dont le tissu industrie et commercial est encore fragile.

1. Les avantages qu’un pays comme le Cameroun peut tirer du protectionnisme sont :
2. limité l’entrée des produits dans le pays.
3. Favoriser la croissance.
4. Accroissement des recettes de l’Etat (prélèvement de droit de douane) :
5. Production du marché local du rude commercial étranger ;
6. Réduire la sortie des capitaux ;
7. Réduire le déficit du solde de la balance commerciale.

Les risques que le Cameroun peut encourir sont : Il s’agit de donner les inconvénients du protectionnisme.

1. favoriser les monopoles ;
2. peut entraîner des mesures de rétorsions pouvant aboutir au rejet ds produits nationaux par l’étranger ;
3. freine la modernisation, l’esprit de concurrence et
4. freine des investissements et l’entrée de capitaux étrangers. De créativités ;

1. le protectionnisme peut-il résister à la mondialisation

D’emblée, on dirait que les deux termes, production et mondialisation ne sont pas compatibles.
La mondialisation suppose une large ouverture des marchés à l’échelle planétaire, une parfaite mobilité des biens et services, de capitaux et tous les facteurs de produits entre nations, tan disque le protectionnisme freine ces deux mobiles donc il est sérieux obstacle.
Néanmoins, pour les jeunes nations environnement faible, industriellement fragiles et démunis de capitaux pour créer des unités de production performante et susceptible de supporter la rude concurrence internationale, il est nécessaire de passer par le protectionnisme « éducateur » dans un premier temps afin de recouvrir les conditions nécessaires et suffisantes pouvant permettre de mieux profiter de la mondialisation. Un tel détour est nécessaire sinon la majorité des PVD sera victime de l’effet d’évitions des pays nantis.

1. Pour mesurer la croissance économique dans un pays, on compare la production totale d’une économie à différente époque comme les différents biens et services que produit une économie ne sont pas directement comparable les us aux autres, il faut sommer les différents produits proportionnellement à leur valeur pour obtenir une mesure de leur qualité total.

La mesure la plus connue du produit réel de l’économie est le PNB, qui mesure la quantité total des biens et services produit dans une économie pendant une période comptable donnée (l’année). Le plus souvent, on mesure la croissance économique par le taux de variation moyenne annuelle du PNB réel total ou par habitant intervenu au cours d’une période donnée (année).

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